LA MALADIE.

exhortation
Au travers de la maladie, Dieu peut parler. D’abord au malade, ensuite à son entourage, mais également à l’Assemblée, car « Si un membre souffre, tous les membres souffrent avec lui » (1 Cor.12.26).

La souffrance se fait sentir dans tout le corps de Christ, habité et uni par le St-Esprit.

Oui, la maladie est une conséquence du péché, mais ce serait une grave erreur que de voir dans chaque maladie la conséquence d’un péché déterminé. L’exemple de Job ( Job 1;8) et de l’aveugle-né sont là pour nous mettre en garde contre une telle interprétation.

L’infirmité de l’aveugle-né devait être, pour le Seigneur, l’occasion de faire briller sa gloire ( Jean 9;2-3).

Chers malades, ne nous laissons pas distraire, nous ferions le jeu de l’ennemi. On peut s’étourdir, remplir son temps de mille manières, au lieu de vaquer à la prière.

N’oublions pas que Dieu s’est servi de la souffrance pour former sers serviteurs. « Tout sarment qui porte du fruit, il le taille afin qu’il porte plus de fruit » (Jn 15;2).

Le fruit de l’Esprit peut briller sur un lit de maladie. Le croyant malade trouvera la force dans l’attente patience de la délivrance et dans la soumission paisible à la volonté de Dieu.

Il n’y a pas de souffrance que le Seigneur n’ait connue avant nous, avec une intensité insurpassable, Lui dont la tendresse infinie vient chaque jour au devant de nos pas. « Quand les justes crient, l’Éternel entend et il les délivre de toutes leurs détresses » (Ps 34;18).

Ainsi constamment fortifié par le Seigneur, un croyant pourtant depuis longtemps malade, pourra répandre autour de lui la bonne odeur de Christ.Que Dieu vous bénisse.

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PENSÉE: LES DÉLICES CÉLESTES FERONT PÂLIR LES DIFFICULTÉS TERRESTRES.

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