L’oeil de l’Éternel est sur ceux qui le craignent, sur ceux qui s’attendent à sa bonté… pour les conserver en vie durant la famine.(Psaume 33. 18-19)
George Müller était un jeune homme anglais peu recommandable, jusqu’à ce qu’il rencontre Dieu à l’âge de 20 ans. Il se consacra dès lors entièrement à Celui qui avait transformé sa vie. Au début du 19e siècle, il fonda à Bristol plusieurs orphelinats qui abritèrent des milliers d’enfants. Pour faire face aux frais considérables rencontrés, George Müller “osa faire confiance à Dieuâ€.
“C’est la prière qui les a nourris, les a vêtus, les a instruitsâ€, dira-t-il en parlant de ces enfants. Il connut maintes fois des exaucements merveilleux. Un matin, alors que le garde-manger du réfectoire ainsi que la caisse étaient vides, George Müller réunit les enfants devant des assiettes et des bols également vides et pria ainsi : “Père céleste, nous te remercions pour ce que tu nous donneras à mangerâ€. Quelqu’un frappa alors à la porte : c’était le boulanger. Il apportait du pain frais qu’il avait fait cuire la nuit, ayant eu le sentiment que le Seigneur le lui demandait. Quelques instants plus tard, c’était le laitier qui apportait des bidons de lait : l’essieu de la voiture de livraison s’était cassé juste devant l’orphelinat, et il devait la décharger pour pouvoir réparer.Chrétiens, sachons que Dieu honore la foi. Sa fidélité est promise à ceux qui lui font confiance. Faisons ce qui est en notre pouvoir, mais avant tout, remettons notre sort à Dieu ; ses moyens sont aussi variés qu’insoupçonnés. Qu’il nous soit donné d’anticiper la réponse de Dieu et de le louer avant même de l’avoir reçue !
Il arrivera que… pendant qu’ils parlent, j’exaucerai. (Esaïe 65. 24)
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