APOCRYPHES, LA GANGRÈNE BIBLIQUE.

Apocryphes, la gangrène biblique PAR NICOLAS
Si vous gardez et si vous obéissez à mes commandements, les autres peuples vous trouveront sages et intelligents… (Deut.4;6)

Bible

Si l’on peut compter dans le Nouveau Testament 260 citations et 370 allusions à l’Ancien Testament, on n’y trouve aucune citation d’un livre apocryphe. Les livres de la Bible ne se contredisent jamais, à part en quelques rares endroits, et pour celui qui la connaît mal. Pour les seuls livres deutérocanoniques (je vous épargne les plus farfelus), voici le nombre d’erreurs relevées, et le nombre d’hérésies que ces livres promeuvent: Tobie, 5 erreurs historiques (en 9 pages); Judith 14 erreurs historiques (en 14 pages); ajouts à Esther, 2 erreurs historiques (en 4 pages); Sagesse, 2 erreurs doctrinales (en 19 pages); Siracide, 8 erreurs doctrinales (en 44 pages, dont une particulièrement misogyne en Siracide 42;14); Baruch, 4 erreurs historiques (en 7 pages); Bel et le Dragon, ajouté dans Daniel, 1 erreur historique (en 2 pages); 1 et 2 Maccabées, 2 erreurs historiques. Chers amis, ne prenez pas ce que disent ces écrits non inspirés pour parole d’Evangile: la semence qu’ils contiennent est néfaste pour votre foi. Faites une seule chose: rejetez-les !

Déclarations protestantes sur les apocryphes
« Livres qui ne doivent pas être estimés à l’égal de la Ste Ecriture, mais qui pourtant sont utiles et bons à lire. » (Martin Luther, Bible en allemand, 1539)

« Ces livres ne sont pas divinement inspirés comme le reste des Stes Ecritures, et ne doivent pas être produits publiquement en l’Eglise pour servir de règle aux articles de foi, ni même aux points de vérité de l’histoire sainte. » (Robert Olivetan, Bible en français, 1588) –

« Les livres appelés apocryphes ne sont pas divinement inspirés, ne font pas partie du Canon des Ecritures et n’ont donc aucune autorité dans l’Eglise de Dieu. Il ne faut pas les considérer autrement que n’importe quel écrit humain. » (Confession de foi de Westminster, 1643)

« Ces livres sont lus de fort peu de monde, et si on en excepte l’Ecclésiastique, la Sapience, le 1er livre des Macchabées et le ch. 7 du 2e, tout le reste ne vaut presque pas la peine d’être lu. » (David Martin, préface aux Apocryphes, 1707)

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