L’Éternel dit à Noé : Entre dans l’arche, toi et toute ta maison.
Genèse 7. 1
L’Éternel ferma l’arche sur lui. Et le déluge fut sur la terre quarante jours.
Genèse 7. 16-17
(Jésus dit : ) Moi, je suis la porte : si quelqu’un entre par moi, il sera sauvé.
Jean 10 : 9
Imaginons un peu quel défi ce fut pour Noé que de construire l’arche, une sorte de paquebot de 140 mètres de long environ, avec les moyens de l’époque, près de 2500 ans avant Jésus Christ. Pourquoi Noé s’était-il lancé dans cette tâche colossale, à l’utilité obscure pour ses contemporains qui, très probablement, ne lui ont pas épargné les propos moqueurs ou méprisants ? Parce que Dieu le lui avait ordonné. Noé crut Dieu et lui obéit. Et Dieu fit ce qu’il avait annoncé : après que Noé et sa famille furent entrés dans l’arche, Dieu ferma lui-même la porte de l’arche, et des pluies diluviennes s’abattirent sur la terre pendant 40 jours, détruisant toute vie hors de l’arche.
Cette histoire biblique bien connue évoque le salut par la foi en Jésus Christ. Aujourd’hui le salut de l’âme est offert à tous. Peut-être êtes-vous hésitant devant le seuil de cette porte du salut en Jésus Christ, presque décidé à faire le pas, à mettre votre confiance en lui, mais vous accordant encore un peu de réflexion. Rien ne presse, pensez-vous. Et puis ce n’est pas facile d’affronter l’incompréhension sinon les moqueries de son entourage. Alors demain, peut-être… Mais attention ! Rester sur le seuil de la porte, c’est être tout près, mais encore en dehors ! En dehors de cette grâce de Dieu, de ce Dieu qui patiente encore, qui veut que tous les hommes soient sauvés en répondant à son appel pressant. Mais, un jour, le temps de la grâce s’achèvera et il sera alors trop tard pour tous ceux qui n’auront pas effectué ce pas décisif de la foi en Jésus Christ.